• Image illustrative de l’article Notre-Dame de Pontmain

    Notre-Dame-de-Pontmain

     

    Notre-Dame de Pontmain est le vocable sous lequel est appelée la Vierge Marie à l'occasion d'une apparition qui est survenue le 17 janvier 1871 dans le petit village de Pontmain, en Mayenne. L'apparition de Notre-Dame de Pontmain est reconnue par l'Église catholique l'année suivante, après enquête canonique. Une église est construite pour accueillir les pèlerins.

    Le culte de Notre-Dame de Pontmain se répand, et en 1920, l'évêché demande au Vatican la création d'un office et d'une messe spécifique. Aujourd'hui, la fête de Notre-Dame de Pontmain est inscrite au calendrier liturgique du diocèse, et elle est fêtée le 17 janvier. Plusieurs églises ou paroisses lui sont dédiées.

    L'apparition

    Alors que la France est envahie par les armées allemandes, l’Apparition mariale de Pontmain est l'événement survenu le 17 janvier 1871 dans le petit village de Pontmain, en Mayenne. Sept enfants au total déclarent voir « une belle dame », mais seuls les trois plus âgés seront reconnus officiellement par l’Église lors de la reconnaissance officielle de l'apparition. L'apparition débute vers 18 h, et va durer environ trois heures. Elle regroupe progressivement les habitants du village, qui ne voient rien, sauf quelques enfants qui décrivent les évolutions de la vision au cours du temps, au rythme des prières de l'assemblée. Dès le lendemain le curé du village interroge les enfants et note un premier récit avant d'en informer l'évêque. Très vite une enquête canonique est ouverte, et un an plus tard, le 2 février 1872, Mgr Casimir Wicart reconnaît officiellement l'apparition de la Vierge de Pontmain, et autorise sa dévotion1.

     

     

    Vitrail représentant l'apparition

    Le pèlerinage

     

    Dès les premiers jours qui suivent l'apparition, avant même l'avis de l’Église sur l'authenticité ou non de l'apparition, des pèlerins se rendent sur le lieu pour y prier2 car ils voient dans le départ rapide des troupes allemandes du département (dans les jours qui suivent l'apparition), le signe de la protection de la Vierge. C'est pourquoi, immédiatement des pèlerinages spontanés s'organisent à Pontmain3. L'abbé Richard dénombrera le 2 mars (soit un peu plus d'un mois après l'apparition), environ 400 pèlerins dans le village. Au printemps, on compte déjà entre 3 000 et 4 000 personnes par jour4.

    À la suite de l'apparition et de sa reconnaissance canonique, l'abbé Guérin, curé de Pontmain, assure l'accueil des pèlerins avec les religieuses de l'école. Mais après sa mort en 1872, l'évêque appelle les Missionnaires Oblats de Marie-Immaculée pour animer les premiers pèlerinages et prêcher dans la région. L'affluence des pèlerins à Pontmain a été rapide. Pour le premier anniversaire des apparitions, le 17 janvier 1872, on comptait déjà 8 000 personnes. Venant d'abord du département, les pèlerins viennent progressivement de la France entière, puis de l'étranger5.

    On compte aujourd'hui environ 300 000 pèlerins par an et 4 000 par jour lors des grandes fêtes comme l'Assomption6,7.

     

    Basilique Notre-Dame d'Espérance de Pontmain

    Après le décès du curé du village, le père Guérin, l'évêque Mgr Wicart confie, le 29 mai 1872 aux missionnaires oblats de Marie-Immaculée le soin d'accueillir les pèlerins qui se rendent sur le lieu d'apparition, et d'y construire un sanctuaire8. Monseigneur Wicart, évêque de Laval, pose la première pierre de l'église le 17 juin 1873, mais il meurt peu après. Ses successeurs suivent sa voie. L'église est achevée en 1890, mais elle n'est consacrée que le 15 octobre 1900 par Mgr Pierre Geay8,9.

    Le 21 février 1905, le pape Pie X érige l'église au rang de basilique8.

    Vénération en France et à l'étranger

    Sa fête liturgique est célébrée le 17 janvier, et elle est officiellement inscrite au calendrier liturgique du diocèse de Coutances et Avranches10.
    De nombreuses églises et chapelles possèdent des vitraux ou statues de Notre-Dame de Pontmain.

     

     

    Plusieurs églises lui sont dédiées, comme :

    Au Liban

    Dans les années 1900, quelqu'un11 emporte une copie de la statue de la Vierge de Pontmain au Liban, dans le village de Béchouate12.

    Lorsque la Vierge apparaît dans ce village, en 1976 et 2004, cette statue, dont l'origine est alors oubliée, est utilisée comme support pour l'imagination. Le père Claude Poussier, recteur du sanctuaire de Pontmain, en faisant lui-même le pèlerinage à Béchouate, en janvier 2005, découvre la statue et révèle son origine française. À cette occasion, le message de la Vierge de Pontmain, traduit en arabe, est inscrit sur le sanctuaire de Notre-Dame de Béchouate12

    Au Canada

    La paroisse Notre-Dame-de-Pontmain, fondée en 1894, a été ainsi dénommée en l'honneur de Notre-Dame de Pontmain et de l'apparition mariale. Cette paroisse donnera en 1945, le nom à la municipalité Notre-Dame-de-Pontmain, toujours ainsi dénommée13.

     

     

     

     

     

     

     

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  • Notre Dame du Refuge

     

     
    Auguste Reine des Cieux et maîtresse des Anges,
    vous qui avez reçu de Dieu le pouvoir et la mission d'écraser la tête de Satan ,
    nous vous le demandons humblement,
    envoyez les légions célestes pour que , sous vos ordres ,
    elles poursuivent les démons,
    les combattent partout,
    répriment leur audace et les refoulent dans l'abîme.

    Qui est comme Dieu?

    Ô bonne et tendre Mère,
    vous serez toujours notre amour et notre espérance.

    O divine,e Mère,
    envoyez les Saints Anges pour me défendre et repousser loin de moi le cruel ennemi.
    Saint Anges et Archanges défendez nous,
    gardez nous.
     

     
     

    Le 13 Janvier 1863, une âme accoutumées bontés de la très Sainte Vierge, subitement frappée comme d'un rayon de clarté divine, crut voir les démons répandus sur la terre, y causant des ravages inexprimables .

    En même temps l'Auguste Mère de Dieu lui dit que l'heure était venue de la prier comme Reine des Anges ,et de lui demander d'envoyer les légions saintes pour combattre et terrasser les puissances de l'enfer.

     

    "Ma Mère, vous qui êtes si bonne, ne pourriez vous pas les envoyer sans qu'on vous le demande?"

    - " Non la prière est une condition posée par Dieu même pour l'obtention des grâces"

    -"Eh bien !! ma Mère ,voudriez vous m'enseigner vous-même comment il faut vous prier?"

     

    Et la Très Sainte Vierge lui dicta la Prière : "Auguste Reine"

     

    Au premier tirage les presse se brisèrent trois fois.

    Mais sous l'impulsion de Bienheureux Père Cestac, fondateur de N.D du Refuge, cette prière s'est répandue dans l'univers catholique, accompagnée partout de faveurs extraordinaire . 

     

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  • Sainte Marguerite-Marie Alacoque
    Confidente du Sacré-Cœur

    M

    arguerite-Marie Alacoque, cinquième enfant de Claude Alacoque et Philiberte Lamyn, naît dans un village du charolais, à Verosvres (Vroules en patois charolais), le 22 juillet 1647. Son père, notaire royal, décède quand elle a huit ans.

    À 10 ans elle est très malade et elle fait vœu de devenir religieuse si Notre Dame la guérit. Ayant retrouvé la santé, elle oublie sa promesse, mais un peu plus tard la maladie de sa mère la lui rappelle. C'est pourquoi, bien que sa famille soit contre, le 25 mai 1671, elle entre au monastère de la Visitation de Paray-le-Monial où elle prend l’habit des visitandines le 25 août 1671.

    Marguerite-Marie fait profession le 6 novembre 1672. Elle épouse dès ce moment-là le Christ souffrant, le Christ en agonie. Jusque-là, elle a bien souvent entendu la voix du Seigneur au fond d'elle.

    Mais le 27 décembre 1673, le Christ lui apparaît physiquement, lui révélant son divin Cœur rayonnant comme un soleil, portant la trace du coup de lance, la couronne d'épines. Une croix le domine. Il lui adresse alors ce premier message : « Mon divin Cœur est si passionné d'amour pour les hommes, et pour toi en particulier, que ne pouvant plus contenir en lui-même les flammes de son ardente charité, il faut qu'il les répande par ton moyen. » Le Christ alors unit le cœur de Marguerite-Marie au sien, et dès cet instant Marguerite-Marie gardera toujours une douleur au côté. La mission laissée à la sainte n'est pas petite : faire connaître aux hommes l'Amour débordant de Dieu… C'est la première des trois grandes apparitions.

    La deuxième grande apparition a lieu l'année suivante, un premier vendredi du mois. Le Christ lui apparaît de nouveau manifestant son divin Cœur, “tout rayonnant de gloire avec ses cinq plaies brillantes comme cinq soleils”. Le Christ alors se plaint que les hommes soient si loin de son Amour, et le lui rendent si peu. Il lui dit alors : « Tu communieras […] tous les premiers vendredis de chaque mois. Et, toutes les nuits du jeudi au vendredi je te ferai participer à cette mortelle tristesse que j'ai bien voulu sentir au jardin des Olives […] Et, pour m'accompagner […] tu te lèveras entre onze heures et minuit pour te prosterner pendant une heure avec moi ». De plus, le Christ lui rappelle alors l'importance de l'obéissance, car Satan « n'a point de pouvoir sur les obéissants ».

    Durant l'octave du Saint-Sacrement, en 1675, c'est la troisième grande apparition, et sans nul doute la plus connue. De nouveau, le Christ lui révèle son divin Cœur, et lui laisse ces paroles : « Voilà ce Cœur qui a tant aimé les hommes, qu'il n'a rien épargné jusqu'à s'épuiser et se consommer pour leur témoigner son amour ; et pour reconnaissance, je ne reçois de la plupart que des ingratitudes, par leurs irrévérences et leurs sacrilèges, et par les froideurs et les mépris […] Mais ce qui m'est encore le plus sensible est que ce sont des cœurs qui me sont consacrés qui en usent ainsi. » Il lui demande alors que soit instaurée la fête du Sacré-Cœur, un culte public ! Marguerite-Marie, petite visitandine dans une petite ville, voit alors évidemment mal par quel moyen elle pourrait y répondre ! Plusieurs visions suivront jusqu'en 1677.

    Au début elle passe pour possédée, mais, heureusement, elle est soutenue par son confesseur, le père Claude La Colombière (canonisé le 31 mai 1992) qui, quand Marguerite-Marie lui ouvre sa conscience, voit en elle l’œuvre de Dieu, la rassure et l’encourage. Peu à peu la communauté accepte et vénère le Sacré Cœur (cœur souffrant entouré de flammes et d’une couronne d’épines).

    La « dévotion au Sacré-Cœur » va se répandre dans toute la chrétienté et, en 1899, le pape Léon XIII (Vincenzo Gioacchino Pecci, 1878-1903) instituera la fête du Sacré-Cœur (3e vendredi après la Pentecôte).

    En 1689, Marguerite-Marie reçoit un dernier message du Seigneur : elle doit faire savoir au roi, Louis XIV, qu'il doit se consacrer au Sacré Cœur, ainsi que tous les grands du royaume, et Lui construire un lieu de culte. Le message arriva-t-il au destinataire ? Nul ne sait, mais toujours est-il qu'il n'y eut point de suite.

    En octobre 1690, elle annonce à ses sœurs, incrédules, que le Seigneur veut la rappeler à Lui, et en effet, sœur Marguerite-Marie rend saintement son âme à Dieu le 17 octobre. Depuis son corps repose à la basilique de Paray-le-Monial.

    Déclarée vénérable en 1824 et bienheureuse en 1864, Marguerite-Marie à été canonisée le 13 mai 1920 par le pape Benoît XV (Giacomo della Chiesa, 1914-1922).

     

    Martyrologe Romain : À Paray-le-Monial en Bourgogne, l’an 1690, la naissance au ciel de sainte Marguerite-Marie Alacoque, dont la mémoire a été célébrée la veille.

     

    Pour un approfondissement biographique :
    >>> Sainte Marguerite-Marie Alacoque

     

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  • 13 octobre – Portugal, 7e apparition à Fatima : le Miracle du Soleil (1917)
    Illustration
    Le baptême du Christ par Perugino.
    Pour vivre notre vocation à la sainteté, imitons Marie
    Aujourd’hui, jeudi, jour des mystères lumineux, méditons le 1er mystère lumineux, le baptême du Christ dont le fruit est la vocation à la sainteté, la fidélité aux promesses du baptême (Lecture de l’Écriture : Mt 3, 11-13) Cet instant est bouleversant : Jésus, le Fils de Dieu, se fait le plus petit, le plus humble, le dernier. Il s’est fait pauvre pour que nous soyons riches de la vie divine ; nous-mêmes, si nous voulons que le Christ opère en nous les merveilles de sa grâce, nous devons avoir un cœur aussi pauvre et humble que nous le pouvons. Une lumière est déposée entre nos mains lors de notre baptême pour que sa flamme éclaire toute notre vie et celle de nos frères. Seigneur, vous qui nous avez montré la force divine qui émanait des eaux du baptême, donnez-nous de percevoir combien, par notre baptême qui nous a rendus enfants de Dieu, nous pouvons vivre de la vie de la Sainte Trinité et porter les fruits que cette vie insuffle en nous !  

    Méditation proposée par l’association Notre-Dame de France

     

    Prions :
    Je vous salue, Marie pleine de grâce ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort.
    Amen.

     

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  • Les vertus de Marie, modèle pour l’Église

     

     

     

     

     

    Le concile Vatican II a déjà fait le parallèle entre la Vierge Marie et l’Église au sujet de la virginité et de la maternité, et complète ce parallèle au sujet de la sainteté de Marie, figure de la sainteté de l’Église. La dévotion mariale apparaît ainsi pour les fidèles comme un chemin de sainteté.

    En effet, Marie st l’archétype de la sainteté de l’Église, comme l’affirme la constitution dogmatique sur l’Église, Lumen Gentium, en son § 65 : « L’Église en la personne de la bienheureuse Vierge, atteint déjà à la perfection qui la fait sans tache ni ride » (cf. Ep 5,27).

    Il ne s’agit pas tant de la sainteté de l’Église dans la gloire de la Résurrection future, mais de la sainteté que le Christ communique à l’Église dans son mystère pascal, rendu présent par le baptême : « Le Christa aimé l’Église : il s’est livré pour elle, afin de la sanctifier en la purifiant par le bain d’eau qu’une parole accompagne ; car il voulait se la présenter à lui-même toute resplendissante, sans tache ni ride ni rien de tel, mais sainte et immaculée » (Eph 5, 25-27).

    Marie est modèle des vertus. « Les fidèles du Christ, eux, sont encore tendus dans leur effort pour croître en sainteté par la victoire sur le péché : c’est pourquoi ils lèvent leurs yeux vers Marie comme modèle des vertus qui rayonne sur toute la communautédes élus » (LG 65).

     

     

    F. Breynaert Encyclopédie Mariale    

    Prions : Je vous salue, Marie pleine de grâce ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amen.

     

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  • Souvenez-vous, ô très pieuse Vierge Marie, qu'on a jamais entendu dire qu'aucun de ceux qui ont eu recours à votre protection, qui ont imploré votre secours et demandé vos suffrages, ait été abandonné. Animé d'une pareille confiance, ô Vierge des vierges, o ma Mère, je viens à vous, je cours à vous, et, gémissant sous le poids de mes péchés, je me prosterne devant vous. O Mère du Verbe, ne rejetez pas mes prières, mais écoutez-les favorablement et daignez les exaucer. Ainsi soit-il.

     

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    FÊTE DU SACRE-COEUR

     

     

                                                             QUELLE CELEBRATION !

     

    Ce 24 juin, le sanctuaire du Sacré-Cœur de Saint Germain, a vu à nouveau venir à lui à pied par les charmantes routes et chemins de notre bocage, l'école et le collège du Sacré-Cœur, accompagnés de pèlerins dont des célébrants de la messe solennelle. L'heureux temps était de la partie. Le Sacré-Cœur après l'interruption en raison de la pandémie retrouvait son pèlerinage. La joie était dans les cœurs, après ces années difficiles. 

     Mais la plus grande joie, nous attendait en son église où la participation des jeunes, magnifiquement préparés surprit autant les paroissiens que notre nouveau vicaire général dont nous avons fait la connaissance, le père Laurent Lair, présidant cette fête, assisté des pères Michel Roger curé de Thury Harcourt et prêtre modérateur de notre paroisse, Louis Cabouret prêtre coopérateur, Fulgence Noël Mougabio notre curé, Raphaël Toé curé de Vassy. Ce chœur géant des enfants retentissait au-delà des vitraux, "Laissez venir à moi les petits  enfants !".

     Ils étaient là en ce 24 juin pour notre plus grand bonheur. Et notre vicaire général a bien su en priorité s'adresser à ceux-ci en leur faisant découvrir l'amour du Cœur Sacré de Jésus, auquel sont toujours attachés des paroissiens venus parfois de Saint Lo et de Falaise, et Vire, ainsi que des paroisses voisines, des membres de la chorale de St Germain-Vassy, avec Paulette à l'orgue. Quel beau partage, nous avions le cœur dilaté !

    Merci à Pierre Halbout qui s'est investi dans ce retour du pèlerinage, ainsi qu'aux responsables de l'école du Sacré-Cœur; à notre organiste Paulette qui a dû s'adapter à ces nouveaux chants qui nous éclairaient d'un ciel prometteur, sans oublier la communauté des sœurs de la Providence de Lisieux si dévouées au sein de notre communauté. 

    Des vêpres étaient célébrées l'après-midi, après un repas partagé.

    NV                                       Photos Yvette Vivien

    FÊTE DU SACRE-COEUR

     

     FÊTE DU SACRE-COEURFÊTE DU SACRE-COEUR

     

     

     

     

     

     

     

     

    FÊTE DU SACRE-COEURFÊTE DU SACRE-COEUR

     

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  • En période de crise dans l’Église, il est urgent de prier Marie et Joseph !

     

     

     

    © Pierre André, CC BY-SA 4.0, via Wikimedia Commons. Fresque de Jésus, la Vierge Marie et Joseph dans la chapelle de l'Immaculée Conception par Marcus Dubois, Basilique de Sainte-Anne-de-Beaupré, Canada

     

    À l'approche du mois d'octobre, que nous avons précédemment prescrit de consacrer à la Vierge Marie sous le titre de Notre Dame du Rosaire, nous exhortons vivement les fidèles à accomplir les exercices de ce mois avec le plus de religion, de piété et d'assiduité possible. Nous savons qu’un refuge est prêt dans la bonté maternelle de la Vierge, et nous avons la certitude de ne point placer vainement en elle nos espérances.

    Si cent fois elle a manifesté son assistance dans les époques critiques du monde chrétien, pourquoi douter qu'elle ne renouvelle les exemples de sa puissance et de sa faveur, si d'humbles et constantes prières lui sont partout adressées ? Bien plus, nous croyons que son intervention sera d'autant plus merveilleuse qu'elle aura voulu se laisser implorer plus longtemps.

    Mais nous avons un autre dessein (…). Afin que Dieu se montre plus favorable à nos prières et que, les intercesseurs étant nombreux, il vienne plus promptement et plus largement au secours de son Église, nous jugeons très utile que le peuple chrétien s'habitue à invoquer avec une grande piété et une grande confiance, en même temps que la Vierge, Mère de Dieu, son très chaste Époux, le bienheureux Joseph : ce que nous estimons de science certaine être désiré et agréable pour la Vierge elle-même.

     

    Pape Léon XIII (1810-1903) Extrait de son Encyclique Quamquam Pluries du 15 août 1889 Voir aussi L'Encyclopédie Mariale

    Prions : Je vous salue, Marie pleine de grâce ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amen.

     

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  • Le démon tremble quand on récite le chapelet

     

     

     

    © Marin-Lavigne, Louis Stanislas (1797-1860), CC BY 4.0, via Wikimedia Commons. La très Sainte Vierge, dite au Chapelet

     

    J’aimerais partager avec vous mon témoignage sur ce qui s’est passé en 2016 à Madagascar. Auparavant, j'aimais dire mon chapelet mais un peu machinalement, sans connaître sa puissance. À cette époque, j'étais malade et les membres de ma famille qui s’occupaient de moi m'ont lavée tous les jours avec du grigri au lieu de m'amener à l'hôpital, comme cela se fait souvent en pays malgache. À ce moment-là j'ai arrêté de réciter mon chapelet et, finalement, on m’a hospitalisée pendant 15 jours, sans messe ni chapelet.

    Le jour où je suis sortie de l’hôpital, nous étions au mois de mai, le mois de Marie. Or ma grand-mère fait partie de la communauté des Filles de Marie et j'ai alors pu participer avec elle au chapelet.

    On a commencé à dire le Credo, puis le Notre Père et arrivée au Je vous salue Marie, j’ai commencé à trembler, comme si j'allais rentrer en transe ; j'ai failli sortir mais j'ai résisté à cette tentation de peur qui venait du démon et j’ai continué ma prière en me jetant dans le Cœur de Marie.

    Alors, tout d’un coup, ma peur est tombée complètement ! Comme quoi le démon tremble quand on récite le chapelet.

    H. K. Témoignage reçu le 14 juin 2022 par l’Association Marie de Nazareth  

    Prions : Je vous salue, Marie pleine de grâce ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amen.

     

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  • Marie répond à nos neuvaines qui persévèrent dans l’espérance

     

     

    © Droits réservés. Visuel du récent tableau de Marie qui défait les nœuds, réalisé par la peintre Hélène Avot à la demande de l'Association Marie de Nazareth

     

    « Je vis à Dubaï depuis plus d’un an, et j’ai commencé la neuvaine à Maman Marie qui défait les nœuds exactement le 8 mai 2022. Une semaine plus tôt, j’avais entamé ma recherche d’emploi dans un environnement extrêmement compétitif. 

    Chaque fois que je terminais la neuvaine, je recommençais à nouveau. Après avoir eu plusieurs refus suite à des candidatures ou entretiens, le 3 juin, je reçois un appel pour un entretien dès le lendemain au sein d’un groupe reconnu, pour un poste dans mon domaine, avec de belles perspectives (l’emploi idéal). 

    Une semaine plus tard, je reçois une proposition d’emploi ainsi qu’une proposition salariale et je signe la lettre d’emploi le 14 juin 2022. C’était le jour où je terminais ma neuvaine pour la 4ème fois !

    Je n’ai pas assez de mots pour dire Merci à notre Reine du Ciel, qui intercède puissamment pour ses enfants. »

     

    A.F. Témoignage reçu le 15 juin 2022 par l’Association Marie de Nazareth  

    Prions : Je vous salue, Marie pleine de grâce ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amen.

     

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